Chef d’entreprise et expert reconnu internationalement dans le domaine de la chasse aux trĂ©sors
Je m’appelle David Cuisinier, je suis nĂ© en 1978 et habite en rĂ©gion parisienne. Je pratique l’escrime depuis l’age de 6 ans et ai effectuĂ© ma scolaritĂ© Ă l’universitĂ© et en Ă©cole de commerce avec une spĂ©cialitĂ© en marketing puis suis parti vivre 3 ans aux Etats Unis via une bourse de sportif. Trilingue, diplĂ´mĂ© de Boston College, j’ai travaillĂ© 2 ans pour une agence gouvernementale amĂ©ricaine dans un rĂ´le de chargĂ© de communication ainsi que pour une sociĂ©tĂ© d’ingĂ©nierie. A mon retour en France j’ai rapidement créé plusieurs sociĂ©tĂ©s dans un domaine un peu particulier mais qui me passionne, celui de la chasse aux trĂ©sors.
En 15 ans je suis devenu un expert mondial reconnu de ce secteur : j’ai rédigé et maquetté 70 numéros d’un magazine qui est paru en kiosque de 2005 à 2019 en France et Belgique. Il traite de trouvailles exhumées grâce à un détecteur de métaux, d’histoire, et de numismatique. Expert en identification d’artefacts et monnaies, j’ai également travaillé pour plusieurs fabricants en tant que consultant et conçu plusieurs produits dans les domaines de la détection de métaux et de l’orpaillage.
J’ai participĂ© Ă de nombreuses Ă©missions dans les mĂ©dias (TF1/FR2/FR3/FR5,BFMTV, radio, presse Ă©crite, podcast rĂ©seaux sociaux…) dont certaines sont visibles ici.
J’anime de nombreux rĂ©seaux sociaux sur ce thème ainsi qu’une chaine Youtube. Je suis Ă©galement Ă la tĂŞte d’une Ă©quipe de chasseurs de trĂ©sors qui est appelĂ©e partout en France par des propriĂ©taires souhaitant retrouver leurs biens familiaux; je travaille Ă©galement ponctuellement pour des collectivitĂ©s ou les forces de l’ordre.
La dĂ©tection de mĂ©taux qui compte plus de 250 000 pratiquants en France est un loisir qui est remis en cause par une minoritĂ© d’archĂ©ologues qui exercent un lobbying efficace et ce malgrĂ© un cadre juridique claire ; profitant de la lĂ©gitimitĂ© que j’ai acquis dans ce secteur, je mène un combat pour la reconnaissance et la protection de ce loisir familial avec notamment l’organisation d’évĂ©nements ou rallyes (dont le dernier a regroupĂ© plus de 800 chasseurs de trĂ©sors Ă la recherche de jetons en 2019) et la participation Ă de nombreuses Ă©missions tĂ©lĂ© ou radio ; j’anime Ă©galement le site www.viveladetection.com et suis prĂ©sident du syndicat Detexpert regroupant plusieurs professionnels de ce secteur.

Ma société La Boutique du Fouilleur dont l’activité principale est la vente de détecteurs de métaux de loisirs et d’appareils géophysiques (radar de sol), un marché qualifié de niche, réalise un chiffre annuel compris entre 1.7 et 2.2millions d’euros depuis 12 ans. C’est une petite structure familiale de 6 salariés dans laquelle j’ai travaillé avec ma mère et ma femme. J’applique une gestion en bon père de famille de mes sociétés et laisse une grande indépendance à mes collaborateurs. J’ai été contrôlé fiscalement deux fois et socialement pour les périodes 2016-2020, sans redressement.
C’est en 2012 dans le cadre de la crĂ©ation d’un dĂ©tecteur de mĂ©taux, que j’ai fait appel Ă la sociĂ©tĂ© IDFR (devenue All In Factory par la suite) de David Leguide et Marc Lepage. C’est lĂ que les ennuis ont commencĂ© et que je suis tombĂ© dans le piège…