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⏩ Résumé de l’article
Je vais vous raconter pourquoi et comment les actionnaires de WattPark utilisent toutes les méthodes pour me dépouiller de mes parts dans la société AIF qui sont estimées au minimum à 800.000€. Cher lecteur, si vous avez pour dessein de spolier l’un de vos associés, cet article vous donnera surement des idées !
Marc Lepage affirme qu’il a seul crée AIF avec David Leguide. Puis son fiston Bertrand Lepage affirme maintenant qu’il a cofondé seul AIF/WATTPARK avec son père. Les Lepage partagent dans leur ADN cette propension à la mémoire courte. Ne leur en déplaise, je suis l’un des 3 fondateurs d’AIF, j’en possédais 33% et maintenant 25% suite aux diverses augmentations de capital et émissions d’OCA. Marc Lepage et David Leguide ainsi que leurs associés veulent par tous les moyens m’effacer de « l’équation » et sont obsédés par une seule chose: me spolier de mes parts à moindre coût.
Comment le montant des parts d’un projet que j’assimile à une coquille vide peut-il avoisiner 800000 € ?
En 2018 AIF ne possède rien outre 2 brevets dont la valeur n’a pas été évaluée et beaucoup de dettes (liées à l’absorption en TUP d’IDFR qui est fortement endettée). En dehors de ces brevets, elle n’a aucun actif, pas de production , pas de chiffre d’affaire générées par ses bornes (qui ne génèrent d’ailleurs rien de significatif en terme de ventes en 2021)…Toutefois un des stratagèmes favori de David Leguide est de convaincre qu’il s’agit d’une « bonne dette ». En effet, d’après lui ces dettes sont censées avoir financé des investissements, salaires et dépenses qui font donc avancer le projet; le fait que ces dettes soient élevées est un « bon signe« . David Leguide ose même prétendre que les dettes d’IDFR intégrées à AIF sont un actifs car elles incorporent les dépenses liées au projet détecteur de métaux (alors qu’IDFR a tout simplement détourné ces fonds pour éponger ses propres dettes et n’a rien investi dans le projet détecteur malgré 300000eur confiés par ma société comme je l’explique ici) Il y a bien un commissaire aux apports et un expert comptable censés valider un minium tout cela (ici la même personne le même partenaire de tous les coups de David Leguide), un audit des actionnaires dont Wiseed, mais au final tout cela importe peu puisque la valeur d’AIF ne repose que sur l’évaluation qu’en ont fait Marc Lepage et David Leguide.
En effet, l’évaluation de la valeur d’une société est celle qui est faite par les propriétaires de cette dernière. Ceux qui investissent dans cette dernière sont donc d’accord pour payer un prix pour des parts ce qui valide la valeur définie par la gérance. Pour acquérir 8784 parts (soit 25% du capital), les investisseurs de la première levée de fonds ont du s’acquitter de 807810eur. Vu que je possède 25% d’AIF, mes parts valent donc la même somme à savoir 807810eur. Ce qui, je vous l’accorde, représente beaucoup d’argent pour une coquille vide qui n’a été incapable que de déployer 1 borne et ce avec 3 ans de retard et un chiffre d’affaire inférieur à 50000eur. Vive le joyeux monde de la finance qui crée de la valeur sur du vent. Marc Lepage a un jour dit à ma mère fin 2018: » je vais montrer à ton fils comment on valorise une société autrement que par le travail » ce qui avait profondément choqué cette dernière…Cette phrase résume assez bien la théorie derrière leur habituel schéma de prédation.
De toute façon cela fait longtemps que j’ai fait une croix sur ne serait ce qu’une infime partie de cet argent virtuel; je ne vendrai jamais mes parts car elles représentent pour moi mon siège au premier rang avec popcorn au théâtre de la chute à venir de ces deux prédateurs et de leur système; et pour tout l’or du monde je ne voudrai manquer ce spectacle qui vaut bien 800000€ (et bien plus si vous allez jusqu’au bout de l’article…)
Plan A: BAD LEAVER l’arme ultime d’AIF pour me spolier de mes parts
Marc Lepage et David Leguide ont essayé de racheter mes parts plusieurs fois. Ils m’ont d’abord menacé de détruire mes 2 sociétés (une gérée par Marc Lepage la société de presse Le Fouilleur, et l’autre dont le fond de commerce leur a été confié en location gérance, La Boutique du Fouilleur) si je ne leur cédais pas mes parts dans AIF. Ils m’ont proposé d’echanger les 49% de parts qu’ils détenaient dans ma société (acquises frauduleusement) , ce que j’ai refusé. Ils m’ont ensuite proposé 400000euros et de me rendre mes parts en bonus en juin 2019 lors d’une médiation. Conscient qu’il s’agissait d’un coup de bluff car ils n’avaient pas les fonds j’ai accepté, et bien entendu il ont retiré leur offre 15j plus tard ! Une nouvelle fois en 2021 en pleine audience au TC de Créteil ils ont tenté de me les racheter après que le juge a demandé une suspension: quelle blague ! Comme je leur ai toujours répondu par courrier de manière officielle : je ne suis pas vendeur de mes parts.
Hélas pour moi, ces deux prédateurs avaient prévu de me spolier depuis bien longtemps, et ce comme ils l’ont fait avec leurs autres victimes. Ils ont intégré au pacte d’associé une clause Bad Leaver. Quand j’ai signé ce pacte, je n’y ai pas fait attention et ne me doutais pas que mes amis étaient deux prédateurs multirécidivistes plusieurs fois condamnés. La clause de Bad Leaver est une clause inspirée du droit anglo-saxon, qui prévoit le rachat et donc le transfert des parts sociales des associés sortant,s accompagnée d’un mécanisme de sanction. Concrètement si je devais être licencié d’AIF, je devrais céder mes parts à une fraction de leur valeur ! Elle prévoit qu’en cas de licenciement d’un cofondateur pour faute grave ou lourde, le cofondateur sera tenu de céder ses titres aux investisseurs s’ils en font la demande. Les titres sont cédés à un prix égal à 50% de leur valeur jusqu’à la seconde date anniversaire (soit le 17/8/2020), puis 75% de leur valeur de marché entre la deuxième et la quatrième date anniversaire de conclusion du pacte.

Dès le 1er conseil stratégique de la société en Avril 2019 au cours duquel j’ai dénoncé les agissements de la gérance et la dérive du projet et surtout que les deux prédateurs n’avaient aucune intention de sortir leurs bornes (ce qui en janvier 2022 est en fait avéré; je dois posséder des dons de voyance), j’ai appris que mon licenciement de la société et que mon eviction de ce conseil stratégique avaient été mis à l’ordre du jour au mépris de toutes les règles sociales en vigueur. Bien entendu les actionnaires (dont le juge Pierre Violante qui a fait un faux ce jour là en imitant la signature d’Eric Valat) ont tous voté pour mon éviction et mon licenciement, ainsi ils pouvaient s’approprier mes parts pour presque rien (80000 eur) . J’ai été licencié pour faute grave en mai 2019. Je conteste bien évidemment cette décision au tribunal des Prudhommes.
La pandémie a retardé la constitution de mon dossier si bien qu’un an et quelques jours après mon licenciement, la gérance d’AIF, pensant que je ne contesterais pas mon licenciement (un salarié a un an pour le faire), m’a fait parvenir un courrier AR le 9 juin 2020 dans lequel elle me mettait en demeure de lui céder mes parts pour une somme dérisoire. Cette dernière avait oublié que tous les délais légaux et prescriptions avaient été prolongés; quelques semaines après ce courrier que je contestais je débutais ma procédure prudhommales contre AIF. En effet, sans décision d’un tribunal prudhommales pour confirmer mon éventuelle faute grave, la mise en œuvre de la clause Bad leaver est impossible.
Cela n’a pas empêché AIF de tenter de spolier mes parts en faisant appel à ses amis au tribunal d’Evry. Alors que nos affaires ont été dépaysées sur le tribunal de Créteil en raison de la présence dans l »actionnariat d’AIF (mes également parmi ses fournisseurs et salariés) de plusieurs juges du tribunal de commerce d’Evry dont sa propre présidente, AIF tentait une nouvelle de passer en force par une action exceptionnelle urgente en référé. Nous avons alors sollicité un 2eme dépaysement de cette affaire qui a été accordé. Le Tribunal de Créteil déboutera AIF de son action en décembre 2021 en expliquant la décision prudhommale. Pourtant le juge Eric Valat expliquait à un actionnaire qui s’inquiétait du règlement du contentieux opposant ma société à AIF (qui est aussi ma société à 25% !) que les risques liés à ma personne étaient derrière AIF et que j’avais épuisé tous les recours possibles pour retarder les échéances de plaidoiries et que des décisions étaient attendues pour fin 2021 voire 2022 pour la mise en place de la clause Bad Leaver. Pas de chance, ce sera une décision plutôt pour 2022, voire 2023 ou 2024 si appel ou cassation après le tribunal des Prudhommes qui de toute façon a peu de chance de valider le licenciement pour faute grave, vu qu’il n’y a aucune faute de ma part.
En 2021, chacune des parties a échangé ses conclusions et la plaidoirie devait avoir lieu au printemps 2022. Sans explication, le Tribunal des Prudhommes d’Evry a décidé d’accorder à AIF 9 mois de sursis et renvoyé la procédure à une énième audience de mise en conformité des pièces en décembre 2022 pour un jugement en 2023. Mon avocat et moi même n’avons pas compris cela. Pourquoi ce renvoi alors que tout est en ordre et que notre dossier a été remis complet à l’audience de conciliation de février 2021 et qu’AIF n’a pas de nouvelle pièces ! Je me suis donc penché sur la liste des juges au Tribunal des Prudhommes d’Evry. Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’Arnaud Barroux était justement le représentant du Collège Employeur aux Tribunal des Prudhommes d’Evry depuis 2018; Arnaud Barroux est l’un des principaux associés de SFINE; lui même ne manque pas une occasion de parler d’AIF sur son compte LinkedIn. Il est également élu, tout comme Eric Valat.

Sentant que cette procédure avait peu de chances d’aboutir malgré ce soutien de poids au tribunal des Prudhommes d’Evry, AIF avait dès fin 2020 échafaudé un autre plan.
Plan B: Emissions d’OCA et création de la SAS WattPark pour me diluer au maximum
Dès 2020, la gérance a émis des Obligations Convertibles en Actions qui ont été achetées par les actionnaires ainsi que les proches et salariés d’AIF. Le but de cette manœuvre est de me diluer. Compte tenu du cout élevé de cette méthode et de sa lenteur, AIF a envisagé une solution plus radicale. Elle a tout simplement copier coller les statuts d’AIF pour créer une nouvelle société le 28/12/2020: la SAS WATTPARK, immatriculée à la même adresse. Elle transfert immédiatement les maigres actifs d’AIF dans cette dernière (outillage, pièces détachées…) ne laissant qu’à AIF 2.5m de dettes et des procédures judiciaires.
Pour faire passer la pilule auprès des 500 premiers petits porteurs de Wiseed, l’équipe dirigeante a l’outrecuidance de lancer une 2eme levée de fonds auprès de cette même plateforme Wiseed ! Elle prétexte pour cela que Wattpark est un « pure player » chargé de la commercialisation. Ceci est bien évidemment faux. En effet, il a toujours été prévu que ce soit AIF qui commercialise les bornes si d’avenir elles devaient sortir un jour ! Pourquoi les premiers investisseurs auraient ils investi dans AIF si ce n’était que pour ses dettes ? La meilleure preuve réside dans l’objet des statuts d’AIF et des statuts de Wattpark qui sont exactement le même au mot près : La Société a pour objet, en France et dans tous les pays Le développement de nouvelles technologies et solutions techniques, notamment en mécatronique, la R&D et le prototypage dans les domaines précités, la conception de produits et la production industrielle, la vente et la distribution de ses produits et services, le consulting technique et stratégique connexe à l’activité ci-avant, et, d’une façon générale, toutes opérations commerciales, industrielles, mobilières, immobilières ou financières se rapportant directement ou indirectement ou pouvant être utiles à l’objet social ci-dessus ou susceptibles d’en faciliter la réalisation.
Croyez le, malgré tous les courriers envoyés à Wiseed et malgré cette spoliation évidente de leurs 500 actionnaires ayant contribué à la 1ere levée de fonds, Wiseed valide la 2eme levée de fonds pour WattPark ! Que ces deniers se rassurent ils vont bénéficier d’une redevance s’élevant à: 5% du CA net d’AIF en 2022 et de 2.5% du CA à partir de 2023. Sachant que le CA d’AIF pour 2020 est inférieur à 50000eur, qu’il est proche du néant pour 2021 vu que seules 50 bornes ont été vendues et 2 déployées à en croire Bertrand Lepage dans cet article paru dans les Echos le 24/11/2021. Vu qu’aucune usine de production ne sera installée avant fin 2022, le CA pour l’année s’annonce du même acabit que celui de 2021, il n’y aura pas de redevance. Rappelons que le bilan prévisionnel d’AIF toujours visible par ces mêmes actionnaires de Wiseed prévoyait la mise en place de 10000 bornes en 2019 (il y en a eu 0), 20000 bornes en 2020 (il y en a eu 0), 40000 bornes en 2021 (il y en a 50 de vendues, 1 de déployée visible sur l’application). En conséquence le chiffre d’affaire promis aux actionnaires pour 2018 devait être de 5m d’euros dont 2m pour la divison borne (il fut de 0 eur pour cette dernière), il devait être de 10m en 2020 dont 7m pour la division bornes (il fut de 50000eur); pour 2021 il devait être de 20m dont 17m pour la division borne (il devrait être compris entre 0 et 500000eur; il faudra toutefois attendre le 31/12/2022 pour le connaitre). AIF avait prévu une hypothèse prudente (LOL) de 70000 bornes vendues d’ici fin 2021…AIF en a vendu 50 🙂

Seul un seul actionnaire d’AIF semble s’inquiéter de la création de cette deuxième société Wattpark. A part cela tout est passé crème et la deuxième levée de fond via Wiseed 300000eur à Wattpark/AIF.
Que valent mes parts dans AIF/WattPark aujourd’hui ?
En 2021, AIF est criblée de dettes (son bilan 2020 indique 2.5m d’euros d’emprunts et dettes pour un incroyable chiffre d’affaire de 48000eur contre 10m d’euros annoncés par le business plan de 2018…on dirait que le plan ne s’est pas déroulé sans accroc 🙂 ) Pourtant, malgré ces chiffres qui démontrent l’infinie vacuité de ce projet, la gérance continue de clamer que son projet est dans les temps et que la société n’a pas perdu de valeur. Qu’en est il vraiment ?
D’un point de vue économique, la valeur d’AIF n’a pas baissé depuis 2018 pour les raisons suivantes
AIF n’a pas perdu d’actifs depuis sa création. AIF a transféré ses actifs dans la société WATTPARK en 2020 ; AIF est actionnaire unique de sa filiale WATTPARK. AIF a donc conservé tous ses actifs ; c’est ce que Marc Lepage explique aux actionnaires de Wiseed lors d’une 2eme levée de fonds « Avec AIF WATTPARK a une licence d’exploitation des brevets et de la marque avec paiement de royalties ». Concernant la valorisation, Marc Lepage explique « qu’il y a une baisse qui s’est créée en 2020 et les amortissements des investissements vont aussi peser quelques temps sur les résultats d’AIF et donc sa valeur intrinsèque mais cela va se corriger à terme et rejoindre la valorisation cumulée des filiales en tant qu’actifs »
Dans le même document Eric Valat, directeur Général d’AIF le confirme et évoque même une forte plus-value « l’écart de valeur actuel entre la mère et la fille va s’ajuster avec le temps au fur et à mesure du développement de Wattpark ainsi que des autres filiales. Les accords de licence et la valeur des actifs vont créer une forte plus-value sur AIF »
Bertrand Lepage explique lui que « la levée de fonds pour la filiale Wattpark SAS laissera AIF actionnaire à 75% d’une société industrielle fortement capitalisée (WattPark) sans dette avec un actif en exploitation démarrant rapidement sur un marché très porteur ».
AIF possède 49% de la SCI Wattpark qui possède les locaux d’AIF, ce qui fait un actif de plus par rapport à 2018.
AIF n’a pas de problèmes de trésorerie puisqu’elle indique le 15/8/2021 qu’elle a déjà levée 884000eur, et que 500000eur de collecte vont s’ajouter pour une levée de fonds totale de 1.750M d’euros. ( https://www.tesla-mag.com/wattpark-ou-comment-partager-simplement-une-borne-via-une-application/ ) « Via le site Wiseed Startup, l’entreprise espère dépasser 500000eur de collecte qui contribueront à une levée de fonds totale de 1.750M d’euros sur laquelle 884000euro a déjà été souscrit par des investisseurs privés et des business angels ». Marc Lepage explique aux actionnaires le 4 aout 2021 que « la trésorerie est la composante principale de la bonne santé d’une entreprise. AIF a su se préserver sur ce point notamment face à la situation du Covid 19 »
Le carnet de commande se remplit et la gérance indique que 13000 unités ont été commandées ou précommandées ce qui fait un CA de 13000x500eur HT= 6.5 millions d’euros pour 2021.Les perspectives commerciales sont excellentes puisque Marc Lepage indique qu’une usine de production de 1000m² va voir le jour au premier semestre 2022. Marc Lepage indique aux actionnaires de Wiseed qu’il attend une rentrée de CA de 10millions d’euros prochainement : « que 20000 unités sont à produire rien que pour la France (environ 10millions d’euros) ». Si l’on considère que la société va réaliser un CA de 6.5 millions d’euros en 2021, la valeur d’AIF va donc même augmenter. Eric Valat évoque lui-même une forte plus-value.
D’un point de vue statutaire, l’émission d’actions sur Wattpark entérine le fait que la valeur d’AIF est toujours de 3.123 millions d’euros.
😂AIF vaut 12millions d’€ et va entrer en bourse: me voici riche…virtuellement !
En conclusion, d’un point de vu purement financier confirmé par les communiqués « rassurants » de la gérance, la valeur de mes parts dans AIF est toujours de 800000eur voire davantage si l’on ajoute la « valeur créée » pour AIF par le transfert de tous ses actifs dans Wattpark 🙂 Il ne s’agit donc aucunement d’un détournement d’actif mais d’une valorisation d’AIF 🙂 Me voilà rassuré; le magnifique bilan entrepreneurial de Marc Lepage et David Leguide de ces 15 dernières années incite d’ailleurs à l’optimisme..
Pour conclure, Wiseed valorise même la nouvelle SAS Wattpark à 4.5m d’euros, et comme AIF possède entre 75% et 100% de WattPark, la valeur de mes part serait donc doublée…
C’est fou la valeur qu’on peut créer avec quelques jolies diapositives Powerpoint et 3 tableaux Excel. On comprend également l’énergie et les ressources que déploie l’actionnariat d’AIF pour récupérer mes parts; ceux qui en profiteront seront les actionnaires principaux de Wattpark (ayant souscrit aux OCA ce qui exclut les 500 petits porteurs de Wiseed qui se retrouvent dilués mais ne l’ont pas encore compris) et donc au premier rang les juges du TC d’Evry regroupés dans SFINE et les proches/amis des Lepage.
Le 10/5/2022, Wattpark annonce emménager dans une « usine » à Allonnes près de Saumur et procéder à une nouvelle levée de fonds de 11.7M€ avec un apport public de 33%; cette fois AIF qui promettait 30 emplois depuis 2018 (elle n’en a que 7 au final) en promet cette fois 180 ! Lire l’article ici. Le 21/6/2022, Ouest France reprend les propos de Marc Lepage qui indique que Wattpark sans même avoir produit est valorisée à 12millions d’euros; il affirme même que BNP-Paribas veut emmener Wattpark en bourse…Avec ces 2 annonces je pense que leur motivation à acquérir mes parts va s’en trouver décuplée… 🤣

🎓 Apprendre des erreurs…
Comme je n’ai aucune intention de vendre mes parts quitte à perdre les centaines de milliers d’euros virtuels qu’elles représentent, il n’y a aucun regret à avoir; mon but a toujours été depuis avril 2019 de lancer l’alerte pour que les 2 prédateurs soient enfin mis hors d’état de nuire. Ces parts dans AIF sont en quelque sorte mon fauteuil au premier rang avec popcorn au spectacle de leur irrémédiable chute. Si toutefois un jour vous deviez signer un pacte d’actionnaire et qu’on vous force à le faire sous prétexte de voir la levée de fonds échouer à défaut de votre signature, vérifier a minima qu’on ne vous a pas collé une clause Bad Leaver et faites relire ce dernier par un avocat !